Vous lisez quoi comme comics en ce moment ?

[Darkcook]

Blackest Night

Epique, avec de superbes idées (Lex Luthor Orange Lantern!) pas mal de frissons, et un brassage continuel de la culture DC comme le fait si bien Geoff Johns. Vivement la suite, faut aussi que je m'attaque à l'intégrale Green Lantern Blackest Night, après avoir digéré l'œuvre principale...

[Benco]

Lex Luthor Orange Lantern

Ah ouais, j'parie qu'il fait d'la concurrence aux téléphones Green Lantern !

[Capitaine Albator]

Merci pour les spoilers, Cookie. Cette saga paraît en ce moment en France.

[Darkcook]

Fallait pas lire!

[Samizo Kouhei]

La saga Le Gant qui paraît en ce moment dans la revue française Spider-Man est vraiment chouette : le retour des ennemis classiques de Spider-Man après One More Day et une année de publication marquée par de nouveaux ennemis. Dans le numéro précédent, c'était Electro, dans le numéro 131 il s'agit du Rhino et de Sandman. Il ne s'agit pas d'une simple baston entre Spidey et ses antagonistes classiques, mais d'un approfondissement psychologique de ces vilains qui n'en deviennent que plus humains. Le but poursuivi par les instigateurs de ces retours reste cependant bien mystérieux.

[Vik]

On passera juste sur la traduction du Gauntlet et sur quelques facilités scénaristiques avec Electro.
Pas lu encore celui de ce mois-ci.

[SuperBat]

Je me le chope cet aprem...

[Darkcook]

Blackest Night Green Lantern

Une sorte de compilation de chapitres manquants à Blackest Night, d'une importance hétérogène. Le récit des origines de Black Hand est une pure merveille, tandis que le reste est plus secondaire, mais complète allègrement le reste en précisant quelques points. Soulignons aussi le retour temporaire d'Hal Jordan en Parallax, ou le combat d'Hal et Barry contre le Black Lantern Martian Manhunter. D'autres épisodes, comme celui sur Xanshi ou les conflits entre Lanterns se suffisent à eux-mêmes, sont divertissants, mais dispensables. Les fans de John Stewart seront ravis, néanmoins.

[Darkcook]

Batman Aliens

Prêté par Lestat, qui tirait une mine insatisfaite en nous le tendant à Madedd et moi... Ben je le comprends. Le concept est un rêve de geek. Pouvoir insérer Batman dans l'univers d'Alien, ou vice-versa, et vivre une alternance de bastons épiques et d'exploration de couloirs tortueux où la mort peut surgir de n'importe où... Malheureusement, le résultat donne une aventure vaine, qui n'apporte rien. Batman s'aventure aux alentours d'une pyramide Maya où le vaisseau Alien a atterri, et se trouve obligé de coopérer avec une bande de bourrins boulets bien pompée sur celles de la série des films, qui ne servent que de victimes aux monstres, et donc de prétextes aux scènes gores et flippantes.

Ces scènes, même si bien conçues, sont bien trop courtes, et ne sont rien de plus que ce qu'on pouvait au minimum espérer. Il n'y a en plus aucun personnage un brin pathétique, ni aussi charismatique que Ripley. Et puis on aurait pu balancer la horde d'Aliens à Gotham, ou envoyer Batman sur leur planète, ça aurait été bien mieux, mais non. Le potentiel de l'idée n'est donc exploité qu'à 20%.

Batman : Year One

Très important à son époque, ce n'est pas qu'une énième résucée des origines de Batman, mais un fantastique polar, avec un Gotham très noir. Certainement le modèle de Nolan, on y trouve pas mal de points communs, et il aurait d'ailleurs dû davantage s'en inspirer pour atténuer un peu sa notion excessive du réalisme qui, chez Miller, atteint la juste dose. La narration alternée entre Gordon et Batman est savoureuse, sans doute même plus du point de vue de Gordon, où on le découvre aspiré par les tentations et les vices qu'offrent ce Gotham. Les quelques clins d'oeil à Dent, Selina, et en toute fin, au Joker (n'est-ce-pas M.Nolan?) sont vraiment appréciables.

[Darkcook]

Flash : Renaissance

Un excellent retour pour Barry Allen et surtout pour ce psychopathe de Reverse-Flash dont je suis tombé fan, ultra charismatique, à raison comparé avec le Joker parmi la galerie des ennemis des bolides. L'épisode vaut aussi pour toutes ses explications détaillées sur la complexité de la force véloce, et sur Max Mercury, Johnny Quick I (pas le doppelganger du Syndicat du Crime), sa fille et même Black Flash, figures moins connues mais ô combien importantes. Au final, le Flashverse est bien moins simpliste qu'il n'y parait.

Attention quand même à ne pas trop inventer de règles et de spécificités concernant la force véloce, ça a déjà un petit côté prise de tête, et puis on voit le rafistolage de continuité, malgré la bonne gestion des évènements.

[Benco]

Ah j'serais curieux qu'tu m'parles un d'ces 4 des propriétés et caractéristiques de la force véloce

[Jamie Madrox]

C'est pas simple, comme tu dis ^^
Pas super compréhensible, et toutes les excuses sont bonnes pour montrer un mec en costume courir (normal me direz-vous, c'est Flash). En plus je connais pas trop Impulse et la JSA (a part Jay, Alan et Wildcat) donc j'ai du manquer quelques trucs.
Je trouve que Wally fait vachement "figurant" dans cette Saga, a part à la fin où il montre que c'est vraiment un monstre...

[Darkcook]

Oui, c'est dommage, en fan de Wally... Mais bon, il s'agissait d'un volet entièrement dédié à Barry et toute sa vie.

[Jamie Madrox]

Oui c'est sûr... C'est "Rebirth" après tout.
Par contre Hal est classe, comme toujours, notamment au début quand ils sont au musée, avec tout les clins d'oeil, j'ai trouvé ça sympa.

[Darkcook]

Clair, j'aime beaucoup le traitement du duo Hal/Barry par Johns, leurs souvenirs, leur façon différente d'appréhender leur résurrection...

[Benco]

clins d'oeils

Fallait l'oser, celle-là

[Jamie Madrox]

Je ne vois pas du tout de quoi tu parles !
Geoff Johns is da man !

[Benco]

Le pluriel selon Madrox :
travail - travails
chou - chous
ciel - ciels
œil - œils

[Jamie Madrox]

Ouai mais j'aime pas les travails moi, je preferent jouaient avec les chevals

[Vik]

"Tous les mots en "al" font leur pluriel en "aux". Par exemple : un anal, des anaux. Sauf dans le cas d'une jeune mariée. Parce que, pour une jeune mariée, on un dit un trousseau et deux trous sales. "

Coluche